Année de diffusion : 2017
Descriptif du documentaire :
Sexe, Prostitution : La face caché de Cuba. La Prostitution et la condition sociale de la Femme à Cuba de nos jours. La prostitution est monnaie courante à Cuba pour vivre.
La Havane, entre l’obscurité, les mulâtres et les belles filles noires comme l’ébène sont les nouvelles prostituées. Il n’y a pas de blanc, noir, ou mulâtre, ni la prostituée qui se promène au milieu des nuits où tous les chats sont gris donc non reconnaissables.
Cela fait que ces nuits soient inoubliables. C’est l’enchantement du plaisir au malecón avec Facunda de Lawton qui se promènent autour du monument historique du bateau américain Maine. C’est dans l’obscurité où on sent le vrai plaisir des zones érogènes. et la cubaine est devenue une spécialiste du plaisir seuxuel.
Les différences entre les gens, les belles femmes noires comme l’ébène de Cuba sont surnommées « morenitas » qui sont une vraie enchantement (elles savent accrocher un homme et préfèrent les bonnes manières des hommes français). En France l’expression : Dans l’obscurité, les différences entre les gens ou des choses s’estompent. L’expression « la nuit tous les chats sont gris » est alors utilisée pour définir ce sentiment de se fondre dans l’obscurité, voire de cacher son « étrangeté » et sa singularité.
Utilisée surtout pour définir ce sentiment de se fondre dans l’obscurité, voire de cacher et de se donner à un homme.
Les rues de capitale cubaine sont obscures, lugubres. Marcher par celles-ci aux heures de la nuit à partir de 20h, sous un ciel sans lune, pourrait causer une terreur au plus robuste des hommes qui marche dans les ténèbres sans sécurité de la lumière nécessaire à la vie quotidienne ses êtres humains.
Seul les phosphore des cimetières produit une lumière, sillonnés par des silhouettes de vieilles constructions qui se lèvent au ciel comme souvenir d’un capitalisme de jadis.
C’est dans l’obscurité qui se faufilent les filles noir, mulâtre, prostituées au milieu des nuits qui sont sombres et longues spécialement pour celles et ceux qui ne savent pas si le lendemain ils auront une paire de pesos convertibles dans la poche qui leur permettent de manger quelque chose de distinct que le riz, les haricots noirs et le pain maison de l’épicerie locale (c’est de la débrouillardise on se croirait en France aux années 1942-48 en manque de tout et tout rationné.
Mais les ténèbres denses qui baignent d’un mystère et une luxure les quartiers de La Havane et la jetée (malecón) devant le monument du Maine ont une énorme utilité pour les dizaines de femmes qui gagnent leurs vies moyennant des services sexuels qui peuvent accrocher un n’importe quel homme. Ces prostitués comme Mayolet vendent ses charmes pour nourrir ses enfants en bas âge.
Trouver une belle fille rythmique, peu habillée avec un visage bien trop maquillé c’est ce qui attire un homme qui décide de plonger dans les méandres des découvertes du plaisir sexuel des femmes de la Caraïbe à Cuba. Au prix modique de $20 (Pesos cubains CUC).
Par ces rues où abondent les « Perles Noires » de la Caraïbe il est facile de payer un moment de passion avec une jouvencelle (morenita) ou bien avec une jeune génisse à la viandes créole que l’on trouve avec un vaste choix dans la rue à l’instar de Pigalle à Paris !
C’est qu’à Cuba ces filles se sont rebiffées et ont préférées avant tout de devenir des prostituées, après des longues années d’études sans trouver aucun travail dans une attitude qui pourrait se considérer comme étant une « révolte » contre le communisme de Raul Castro où les femmes de Cuba n’ont quasiment aucun autre choix sauf de partir dans un bateau de fortune vers Miami au risque de leurs vies et périls et deviennent les filles de la nuit. prostitution à cuba,osvaldo_villar,barack obama,apagones,éléctricité à cuba,cee,lobs
La nuit et ses bémols marquent la mélodie de la nuit rythmées 4/4 de noires et blanches qui savent chanter aux hommes. Ces sont des femmes diplômées bardées de diplômes de l’Université de la Havane (infirmières, médecins, ingénieurs, architectes etc. pour les plus âgées car il y a aussi des mineuers) qui n’ont pas trouvé aucune autre forme de gagner leurs vies, sauf de s’exiler et travailler gratuitement au Venezuela et leurs salaires est envoyée à Raul Castro. Elles vivent les affres du communisme.
Lucia est une Habanera Morenita (noire comme l’ébène) qu’entre des rires et des plaisanteries se déclare être une « fille de la nuit », puisqu’elle est née d’une relation furtive entre sa mère et un homme, qu’elle n’a jamais connu. Elle a été conçue durant une nuit débridées à la fête de Saint Lazare. Elle croît que son père était un haïtien qui a disparu comme la fumée du tabac.
Lucia a un beau corps, de grosses lèvres et de peau cannelle, et marche comme les princesses des contes de fées, en se dandinant au va-et-vient des palmiers des Caraïbes. Elle demande un tarif aux cubains et un autre tarif plus cher aux étrangers et touristes de passage.
L’histoire de Lucia est un drame du commencement à la fin. Elle est née sans père, sa mère était une couturière avec des soucis d’alcoolisme et un oncle lui a retiré la virginité à 13 ans. Elle a commencé la prostitution dans la rue à 17 ans et depuis les hommes lui promettent le ciel et la terre, mais à la fin ils lui paient seulement pour un instant de plaisir. Elle se débrouille cahin-caha dans les ténèbres de la nuit en face de la jetée du malecón.
Lucia a plusieurs cordes à son arc pour satisfaire les désirs de ses client permanents et occasionnels dans le portail d’une maison, à l’intérieur d’un véhicule dans une rue obscure ou dans le meilleur des hôtels.
J’ai voulu produire un article véridique et pas trop connu du grand publique : Les prostituées, les « Proxénètes », policiers ripoux, chauffeurs de taxi, tenanciers des bordels à la Havane Cuba où la condition et les les plus fondamentaux de la femme sont bafouées quotidiennement. Les anciens Bordels de l’époque du Général Fulgencio Batista (1939-1959) ont été remplacés par ceux de la débrouillardise, la femme doit se prostituer pour vivre et donner à manger à ses enfants en bas âge. Pourtant la prostitution selon les dires de Castro dès son arrivée, et notamment en 1997 avait été éradiquée par la campagne de répression du Parti Communiste Unique de Cuba.
Mais la répression est-elle efficace face à la misère au besoin de vivre de se nourrir ? Les 20.000 « Jineteras » (femmes cavaleuses du malecón de la Havane âgées entre 13 et 40 ans) vendent leur corps aux nombreux touristes pour survivre au communisme et au manque de tout dans l’île de Cuba peuplée d’environ 12 millions d’habitants. Où se prostituer est devenu un modèle de vie pour gagner quelques US dollars américains devise indispensable pour se procurer des médicaments et des produits vitaux de première nécessité au marché noir.
Sous Fidel Castro l’éthique morale, les vraies Valeurs de la République et de la société ont disparus. Aucune femme au monde est aussi humiliée que celles de l’île de Cuba. A Varadero, Cayo Coco, Cayo Santa María, Santiago de Cuba, Guantánamo, la Havane, Pinar del Rio.
La prostitution, le tourisme Sexuel (avec des mineurs filles de la campagne, et les autres pour la plupart des perles noires à « absolument à essayer » avec un Marketing de pointe vers le Canada, la France et l’Espagne (Belles Femmes, Mer, Soleil et Sexe) s’est développé et amplifié. La corruption est telle dans les rangs des fonctionnaires de la Police de Castro allant du simple policier qui ferme les yeux en échange des pourboires et les policiers Inspecteurs et supérieurs deviennent des « macs ».
Tandis que les policiers de l’immigration touchent des gros dessous-de table entre quatre yeux pour qu’il approuve une demande de mariage entre un étranger et une cubaine, ou vice-versa. Cuba est un pays très corrompu.
Comme beaucoup de choses à Cuba, l’obscurité est justifiée. Le gouvernement de Raul Castro a institué des coupures d’électricité (Los Apagones) qui éteint l’éclairage public à La Havane.
De la même manière, La Cammunaute Economique Éuropenne (CEE) a suggéré la nécessité d’augmenter le contrôle de la consommation d’énergie, principalement dans les horaires de demande maximale dans l’île, où la génération est à partir du diesel (avec des moteurs et usines à électricité datant d’avant la IIe Guerre Mondiale 1938-39).prostitution à cuba,osvaldo_villar,barack obama,apagones,éléctricité à cuba,cee,lobs
La chute du pétrole a obligé le Venezuela à stopper les livraisons de 90.000 barils quotidiens subventionnés en compensation par les services professionnels de (cubains qui travaillent gratuitement au Venezuela) que Raul Castro envoie à Caracas pour revoir l’Or Noir.
Cuba avait souffert de coupures électriques, dans les années 1990 après la désintégration de URSS. L’image d’être un pays où beaucoup de touristes viennent à chercher le soleil, la mer et le sexe (des aventures) avec les belles femmes qui vendent leurs corps pour des Pesos ($) rappelons qu’à Cuba 1 Euro se change 25 Pesos) et le salaire mensuel d’un cubain ou cubaine est de 16 Euros par mois.
Au point que Julietta femme médecin cubaine à la Havane travaille le jour et se prostitue les soirs pour pouvoir subvenir à ses besoins car elle ne gagne pas assez étant médecin à Cuba !