Année de diffusion : 2012
Descriptif du documentaire :
Mondes intérieurs, Mondes extérieurs, est un documentaire (1h58) de Daniel Schmidt, qui nous explique et montre l’existence du champ vibratoire qui relie toutes choses, de l’homme à la planète et la vie en générale, en passant par l’Univers. C’est une synthèse admirable de ce qu’on peut appeler la Conscience spirituelle universelle, dont la majeure partie de l’humanité moderne a perdu.
Il existe un champ vibratoire reliant toutes choses. On l’a appelé Akasha, le son originel Om, les perles du collier d’Indra, l’harmonie des sphères, et des milliers d’autres noms qui lui furent attribués à travers l’histoire. Les anciens enseignaient le Nada Brahma, c’est-à-dire que l’Univers est vibration. Le champ vibratoire est à la source de toute véritable expérience spirituelle et de toute recherche scientifique.
Il s’agit du même champ que des saints, des bouddhas, des yogis, des mystiques, des prêtres, des chamanes, des prophètes, des scientifiques, ont observé par introspection. Bon nombre d’imminents penseurs de l’histoire tels que Pythagore, Keppler, Léonard de Vinci, Nikola Tesla et Albert Einstein approchèrent le seuil du mystère. Aujourd’hui, Nassim Haramein en parle également.
Dans la société actuelle, la majeure partie de l’humanité a perdu la sagesse ancienne. Nous nous sommes trop égarés dans le domaine de la pensée, ce que nous percevons comme le monde extérieur de la forme. Nous avons perdu notre lien vers les mondes intérieurs.
Cet équilibre, appelé “la voie moyenne” par Bouddha et “le juste milieu” par Aristote, est le droit de naissance de chaque être humain. C’est la source commune de toutes les religions et le lien entre nos mondes intérieurs et extérieurs…
(innerworldsmovie.com)
Mondes intérieurs, Mondes extérieurs, est composé de 4 parties : L’Akasha, La spirale, Le serpent et le lotus, et Au-delà de la réflexion.
Nous réalisons aujourd’hui que la science et les différentes traditions spirituelles et religieuses à travers l’histoire convergent vers la même conclusion : Tout est Unité, tout est vibration, l’Univers, la matière, l’être humain, la Conscience.
La crise systémique que nous connaissons aujourd’hui serait-elle une crise existentielle, une crise spirituelle ?
Partie 1 : – L’Akasha –
Cette première partie traite du champ vibratoire universel à la base de la Conscience, un champ d’énergie que nombre de cultures ont observé par l’introspection, et que la science étudie depuis quelques décennies. Les différentes traditions l’ont appelé l’Akasha.
Ainsi, ce champ Akashique se définit comme une mémoire vive, une conscience infinie de toutes les informations, toutes les expériences passées, présentes, et futures. Il s’agit de la matrice dont toute chose surgit, des particules subatomiques aux galaxies, aux étoiles, aux planètes, à toutes formes de vies.
Le champ Akashique est nourrit directement par notre façon de penser et d’observer le monde. Comme nous l’apprend la physique quantique, c’est notre propre regard qui conditionne notre perception de la réalité : “Dans l’Univers, toute énergie est neutre, intemporelle, sans dimensions. C’est notre créativité personnelle et notre capacité à reconnaître un modèle qui relient le microcosme et le macrocosme, le monde intemporel d’ondes, et le monde solide matériel. L’observation est un acte créatif qui passe par la limite inhérente à la pensée. On crée l’illusion de solidité, de choses, en leur collant une étiquette, en les nommant pour qu’elle existent. Créer relève de notre nature la plus élevée.”
Partie 2 : – La spirale –
Chaque scientifique qui approfondit l’Univers et chaque mystique qui fait une introspection profonde finit par être confronté à la même chose, la spirale originelle. La spirale originelle n’est pas une idée, mais plutôt ce qui rend toute condition et toute idée possibles.
De la nature aux nanotechnologies, cette spirale est partout. C’est une structure dynamique universelle créatrice de mouvement, de circulation, de changement, d’évolution. C’est aussi le lien qui relie les mondes intérieurs aux mondes extérieurs.
Cette partie du documentaire propose les plus belles images, dont les fractales de Mandelbrot, nous interpellant sur la beauté de la nature et son incroyable perfection mathématique.
Partie 3 : – Le serpent et le lotus –
Que signifient les symboles du dragon, du lotus, du serpent ou de l’oiseau, qu’on retrouve dans presque toutes les traditions anciennes de par le monde ?
Cette partie nous interpelle sur les symboles relatifs à nos mondes intérieurs et la connaissance ancestrale que l’homme moderne a choisi d’oublier, s’identifiant exclusivement à ses pensées et au monde matériel.
La connaissance ancienne est ici, elle nous entoure, pas cachée, “à la vue de tous”, mais on est trop absorbé par nos pensées pour la reconnaître. Cette sagesse oubliée est la voie qui restaure l’équilibre entre l’intérieur et l’extérieur, le yin et le yang, entre la spirale du changement et le calme dans notre cœur.
Partie 4 : – Au-delà de la réflexion –
Saviez-vous que si vos pensées engendrent la peur, l’inquiétude, l’anxiété et la négativité, vous stimulez votre réseau neuronal à produire d’avantage de pensées similaires ? Si vos pensées engendrent par contre l’amour, la compassion, la gratitude et la joie, vous stimulez le réseau à reproduire ces expériences.
La dernière partie nous invite à mieux comprendre comment fonctionnent nos pensées et à questionner la place de la réflexion dans la quête de bonheur.
“On vit sa vie à la poursuite du bonheur qui se trouve quelque part, comme s’il s’agissait d’un produit. Nous sommes devenus esclaves de nos propres désirs et envies. La recherche de la compréhension du monde, non pas en terme de conscience intérieure archaïque mais en terme de perception quantitative et qualitative du monde extérieur par la pensée et les moyens scientifiques, constitue le dilemme de la société moderne.”
On cherche à connaître l’Être le plus profond qui crée le monde et guide son cours, mais on conçoit son essence comme hors de nous-même, pas en tant que chose vivante intrinsèque à notre propre nature. Il n’y a rien de mal à vouloir être éveillé, être heureux, mais on a tord de vouloir chercher le bonheur à l’extérieur quand on peut le trouver à l’intérieur.
“A quoi cela sert-il de penser autant si cela ne mène pas à un bonheur plus grand ? Penser, agir et faire doivent s’équilibrer avec être. Après tout, nous sommes des êtres humains !”